Tout commence par un vol Québec–Montréal sans histoire… ou presque.Le seul incident à signaler : une gomme à mâcher solidement collée sous le siège devant moi où j’y ai fermement entrée mon petit sac à dos et qui a bien sûr échappée à mon attention.Évidemment, elle s’est solidement accrochée au bas de mon sac à dos pour ensuite trouvé refuge sur mon chandail noir Puisque c’est mon plus petit sac à dos , je le porte sur l’avant , ce qui me laisse de belles taches blanches louches pile à la hauteur de la taille ! Ce n’était pas exactement le look que je recherchais sachant que ce chandail était destinée à une longue journée En bon touriste , je tente un nettoyage à l’eau chaude avant de consulter Google… pour apprendre que c’est exactement ce qu’il ne faut pas faire, car ceci incruste la gomme dans le tissu. Trop tard … Je devrai vivre avec
Deuxième vol : Montréal–Copenhague. Ma mise pour un surclassement passe et me voilà en économie premium, avec cerise sur le sundae: deux sièges rien que pour moi. Un luxe rare, qui me permettra un bon 4-5 heures de sommeil grâce à ma flexeril. J’atterris tôt à Copenhague, 7 h du matin heure locale — ce qui correspond à 1 h chez nous . Je saute dans un taxi et je dépose mes bagages à l’hôtel. Après celui de air Canada, je profite d’un 2e café à ma disposition dans le hall de l’hôtel.Il est 8hr, La ville est déserte et rien n’est encore ouvert.Mon hôtel est au cœur de Nyvahn , ancien quartier peu recommandables remplis de marins complètement saoul qui a été transformé d’abord en modifiant la façade des édifices avec la gamme des couleurs pastels. Ceci a mené éventuellement en une épuration du lieu.Ce quartier touristique maintenant emblématique m’offre en ce dimanche matin ses façades colorées dignes de carte postale pour moi seul. Les premiers restaurant ouvrent à 9hrs et je m’assois pour un déjeuner accompagné d’une carafe de café filtre bienvenue. À 10 h, je m’embarque pour une croisière à travers les canaux. Copenhague, vue de l’eau, dévoile ses ponts élégants, ses bâtiments historiques et son atmosphère calme. À midi, j’enchaîne avec une visite guidée à pied, juste après un double espresso pour poursuivre mon intoxication à la caffeine . Mon guide, Kenneth, est un Danois sympathique et plein d’anecdotes : • Le Danemark et la Finlande sont les pays au top pour le niveau de bonheur. • Ce bonheur survit malgré un taux d’imposition pouvant grimper à 70 % et une taxe de vente de 25 %. Ça va calmer la frustration que j’ai envers mes impôts - 62% des habitants vont au travail ou à l’école en vélo Nous passons par les grands classiques, y compris la fameuse Petite Sirène. Officiellement élue deuxième pire attraction touristique au monde, on peine à comprendre comment une si petite statue attire une si grande foule. On y apprendra sur le roi et la reine et la monarchie qui survie avec un taux d’approbation sociale très élevé La ville a vraiment un jolie cachet et m’apparaît différente des autres villes européenne déjà visité On ne sens pas comment c’est malgré tout un petit pays de 6 millions d’habitants dont la capitale Copenhague est d’environ 800 000 habitants qui rappelle les proportions de la ville de Québec et la province.
Après le tour, je prends enfin possession de ma « luxueuse » chambre… Je trouvais que je m’en étais bien sortie pour le prix mais là j’ai compris ! Je m’étends quinze minutes, mais décide vite de ressortir pour éviter de sombrer dans le sommeil. Sur les conseils de Kenneth, je me rends à Broens Street Food, un marché animé où se côtoient cuisines du monde et spécialités locales. J’opte pour le plus danois des plats : le smørrebrød. Imaginez un sandwich ouvert, monté sur du pain noir dense, garni de divers ingrédients . Les miens sont 1 au saumon et 1 aux champignons : un pur régal. Le tout accompagné d’une IPA locale qui clôt parfaitement ma première journée à Copenhague. Je décide de demeurer dans ce marché plutôt que d’ajouter au 12 km déjà parcouru aujourd’hui puisque la bière agit comme antidote de ma surconsommation de caffeine et je commence à m’effondrer en écrivant ces mots Je continue ainsi de tester d’autres kiosques de nourriture en sachant que je passerai au lit tôt pour mon vol prévu à 8h25 am direction le Groenland