La tour infernale à Drachenbronn-Birlenbach

Publiée le 24/10/2023

Pour changer des maisons, églises et autres urbanités me voici dans la forêt. Et sur les conseils d’un autochtone direction le chemin des cimes. Vertige garanti🤢

Dans l’image les infos de mon supplice du jour

Pour commencer 1 longuuuue passerelle

Et là c’est déjà le drame (quand tu es dessus tu es au niveau de la cime des arbres, pas à ras le sol et en plus y’avait du vent). Je me sens patraque, j’arrive pas à avancer, super 👍 je vais pas retourner à l’accueil à peine arrivée ? Ça craint

Non, j’emboîte le pas

D’une famille avec enfants, seulement ils s’arrêtent dans des endroits impossibles pour moi. Oh, mamy colombo avec son imper, aller hop je la suis. Elle aussi s’arrête net. Décidément ils le font exprès ou quoi. ?. Je prends mon courage sous le bras et je le ficelle bien pour poursuivre. Alléluia après 30mn (au lieu de 10 pour les personnes normales) j’arrive au pied de la tour infernale.

A l’attaque

Et bien là c’était assez facile (pente douce) et je me sentais mieux. Tout en haut je n’en menais tout de même pas large (impossible de m’approcher de la barrière), mais fière d’avoir vaincu 🤪(panorama sur les Vosges, la forêt noire en Allemagne à voir sur Facebook et je rappelle que je ne suis pas la reine du panorama ça foire souvent avec moi)

Pour la descente 2 options

La facile par le chemin que tu as emprunté ou la téméraire avec un toboggan de 75 m de long ( c’est le tuyau inox dans la photo précédente). Dans ma tête j’étais partie pour cette seconde option pour frimer un max devant les jeunes mais comment te dire…. Vu le stress que j’avais, j’ai pas compris qu’il fallait prendre un tapis et le monter avec soi en haut et même si je l’avais pris je pense que je me serai dégonflée

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