Arequipa, la cité blanche

Publiée le 17/12/2021

C'est parti pour près de deux semaines dans la première étape de la "Sierra" : Arequipa, la seconde plus grande ville du Pérou, au pied de trois volcans (Misti, Chachani, Pichu Pichu).

Des murs blancs issus des volcans

La ville est faite de sillar, pierre de cendres minéraux et gaz toxiques issus d'une éruption volcanique explosive tant eu lieu il y a plusieurs milliers d'années

Carrières de sillar

La carrière de Añashuayco se visite ; on peut y voir de nombreuses statues sculptées (là c'est moi par contre)

Encore un canyon, blanc cette fois !

Une ville animée

Le soir, la plaza de armas du centre-ville concentre toute l'activité familiale et touristique. Une crèche, un sapin de Noël et diverses figures baignent les lieux d'une atmosphère de fête.

Tradition textile

Le musée de l'alpaga explique l'art de tisser, et notamment la différence entre lama et alpaga, vigogne et guanaco (ces derniers sont les versions non domestiquées des premiers)

Le río Chili

La rivière qui traverse Arequipa s'appelle Chili. Cela signifie "froid" en quechua. Et ça a inspiré le nom du pays voisin...

El rocoto relleno

C'est la spécialité de la région : un piment farci à la viande et aux petits oignons, accompagné de "pastel de papas" (gratin de PDT avec fromage)

Le monasterio de Santa Catalina

Il a abrité des moniales entre 1579 et 1970, vivant coupées de la ville (malgré sa situation en plein centre). Couvent dominicain, il est le plus ancien du Pérou et le plus grand du monde (plus de 2 hectares). Ses maisons, ruelles, cloîtres et fontaines en font un petit village.