La mer Noire et Istanbul

Publiée le 01/12/2018
En longeant la mer Noire, nous découvrons encore une région bien différente : beaucoup de verdure et des montagnes jusqu'à 3000 m d'altitude. Puis, nous faisons halte à Istanbul, carrefour de civilisations anciennes, devenue aujourd'hui mégalopole grouillante de jour comme de nuit.

D'ailleurs, l'omniprésence de la société de consommation, le tourisme de masse et le mauvais temps font que nous ne nous y attardons pas.

Le long de la côte se sont développées les cultures de thé et de noisettes.
Le nombre de bâteaux de pêche est hallucinant.
Nous traversons le Bosphore sur un des trois ponts qui relient l'Asie à l'Europe.
Nous nous réfugions dans le fameux Grand Bazaar, couvert.
L'atmosphère décontractée du Pont de Galata nous semble beaucoup plus sympatique.
La Citerne Basilique, réservoir d'eau de la ville à l'époque byzantine.
Passage obligé : la mosquée Sultan Ahmet, mieux connue sous le nom de mosquée bleue.

Après un mois, nous quittons la Turquie remplis de souvenirs merveilleux. C'est un pays très riche culturellement et historiquement, et la nature y est spectaculaire à tous points de vue.

Nous avons été tout particulièrement touchés par la gentillesse des gens qui nous ont accueillis avec des grands sourires, des signes de la main et même des cadeaux - peu importe la barrière de la langue. Combien de fois on nous a spontanément proposé de l'aide ! Même la police venait systématiquement nous saluer le soir lorsque nous dormions en ville.

Nous avons également été impressionnés par l’impeccable état des routes, petites ou grandes. Par contre, la circulation est quelque peu anarchique : des feux rouges grillés, des dépassements périlleux, des animaux qui traversent la chaussée, des contre-sens à tout va, des marches-arrières sur la quatre-voies, etc. Et bien sûr le tout dans un incroyable brouhaha de klaxon.

Mais cela fait partie de leur sens inné de la débrouillardise. Il y a toujours une solution ! Les Turcs sont des bricoleurs doués - tout peut être réutilisé ou presque, car malheureusement, beaucoup de déchets finissent encore dans la nature.

C'est vrai, nous avons beaucoup aimé la Turquie. Les délicieuses mandarines fraîchement cueillies, les seaux de yaourt de 3 kg et même le muezzin qui chante à 5h40 du matin vont nous manquer...

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