Istanbul

Publiée le 26/09/2025
De Erdine à Istanbul, nos onze premiers jours en Turquie : découvertes et immersion.

Turquie

(Première partie : du 14 au 23 septembre )

Étapes : Erdine - Lülburgaz - Erdek - Istanbul (6 nuits) 

Passage de la frontière par la Grèce. J’en parle dans l’étape précédente.


Le soir de notre arrivée en Turquie à Erdine le 14 septembre, c’était la finale de l’euro de basket : Turquie - Allemagne. C’est ce qui a d’ailleurs motivé notre passage en Turquie : en demi-finale, c’était Grèce - Turquie. « Si la Grèce gagne, on reste un jour de plus, si les Turcs gagnent, on passe en Turquie 😜 ». La Turquie a gagné, on a passé la frontière ! On se réjouissait de profiter de l’ambiance et de fêter une éventuelle victoire. Et bien non, c’est nous-mêmes qui avons appris aux Turcs rencontrés qu’ils étaient en final 😳. Et lorsqu’on a mis le match à la télé dans le joli patio de notre guesthouse, ils ont regardé cela d’un œil absent 😳. Ils sont fans de foot nous expliquent-ils. Bon, finalement ils ont perdu, personne n’a pleuré.

Lülburgas était une étape prévue depuis la France. Un endroit où il y a une académie de vélo, ce qui est assez unique. Les enfants peuvent y appendre à faire du vélo sur un parcours ludique. Les cyclistes peuvent y passer une nuit gratuitement et rencontrer d’autres voyageurs, eux aussi à vélo. On passe une soirée cosmopolite avec deux Néo- Zélandais, un Allemand, un Turc et un Irakien. Ça parle voyage, routes et crevaisons...l’Allemand, un p’tit jeune de vingt ans, a plus de dix trous dans sa chambre à air ! Il faut dire qu’il y a énormément de débris de verre sur le bord des routes. Il faut vraiment bien faire attention où on met ses roues !

Erdek était une étape obligatoire sur la voie maritime qui mène à Istanbul. On va de Tekirdag à Erdek en ferry pour ensuite prendre un deuxième ferry 25 kilomètres plus loin à Bandirma jusqu’au port de Yenikapi à Istanbul. Nous avons passé une nuit dans cette ville touristique de bord de mer car le premier ferry arrive en milieu de soirée. Nous avons dû changer nos plans de couchage : l’hôtel que nous avions sélectionné demande un certificat de mariage pour les couples 😳. Notre subterfuge, imaginé par d’autres, des fausses alliances tombent à l’eau 😅. On se retrouve dans un Airbnb trop cher mais moins regardant. Le trajet jusqu’à Bandirma est l’occasion d’une belle baignade dans la mer encore chaude sur une belle plage de sable déserte à la sortie d’Erdek.


Arriver à Istanbul en bateau

Ce n’est pas arriver jusqu’à Istanbul qui nous a procuré quelques sueurs froides, mais rejoindre notre logement en vélo depuis le port de Yenikapi 😱 avec un petit détour par la mosquée bleue pour la photo désormais traditionnelle de nos vélos car nous savons déjà que nous ne les ressortirons plus ici. 

La descente du bateau se fait au milieu de passagers pressés qui tirent leurs grosses valises à roulettes sans se soucier des gens alentours. On se retrouve vite face à une grosse artère envahie par un nombre impressionnant de véhicules de toutes tailles ! Heureusement, un autre cycliste allemand rencontré dans le ferry débarque avec nous : il est déjà venu l’année dernière, et pour éviter à nouveau de faire la grosse route, il a mieux potasser son affaire. Il a déniché une piste cyclable qui commence un peu plus loin : d’abord il faut affronter une route à contre sens, jongler sur le trottoir avec les passants et trouver un ascenseur qui nous monte sur la piste cyclable, le long de la voie ferrée. Génial, nous y sommes, je rentre à Istanbul escortée par un Annécien et un Berlinois 😜. Le problème, c’est que cette piste n’a pas de voie de sortie prévue pour les vélos 🙂‍↕️. Pour la quitter, il faut monter sur une passerelle puis y redescendre …. tout en escaliers bien sûr 🙄. Dix minutes plus tard, nous sommes devant la Mosquée Bleue : magique ! Nous sommes officiellement à Istanbul ! Reste encore à faire les 3,5 km pour rejoindre notre logement qui se trouve dans un quartier à la lisière de ceux plus touristiques. Étape 2 : affronter le trafic des rues du centre ville avec nos deux-roues chargés ! Première constatation : les rues sont à double sens alors qu’il y a à peine de la place pour une voiture et un vélo ! Tout est encombré, personne n’avance vraiment, les voitures roulent au ralenti. On est en plein embouteillage ! On arrive tout de même à se faufiler entre les voitures, minibus, taxis qui s’arrêtent n’importe où, scooter remorqué par un autre à l’aide d’une corde, piétons, chats, chiens… un vrai capharnaüm ! On longe aussi les trottoirs où sont installés de petites échoppes. Au passage, un serveur nous propose de nous arrêter manger; il a déjà trouvé un solution pour nos vélos 😋. Ajouté à cela les klaxons, l’appel à la prière, les effluves de viandes grillées et de poissons frits ainsi que la chaussé défoncée, on arrive devant notre bâtiment assommés mais en un seul morceau. On récupère les clés chez le marchand de tout et n’importe quoi du coin, montons les quatre marches qui nous restent pour atteindre notre appartement, ouvrons la porte : Ouf ! On respire à nouveau.


Istanbul, une ville au bord de l’Europe

Byzance, Constantinople puis devenue Istanbul sous l’Empire ottoman, Istanbul est une ville construite sur sept collines, deux continents et baignée par trois mers. Elle compte quinze millions d’habitants : c’est la plus grande ville du pays.

Cette mégalopole ne laisse pas indifférent. C’est une ville énergivore qui bouillonne et qui questionne.

Après une bonne nuit et un repas sur le pouce dans notre quartier, nous abordons notre première journée remplis d’enthousiasme, décidés à visiter tous les beaux monuments qu’offre la ville. Il y a beaucoup de monde; les sites touristiques sont assaillis par la foule. Il y a la queue un peu partout et les prix ont clairement pris l’ascenseur ! Ceux indiqués dans notre guide qui date de 2024 sont totalement obsolètes. Le pays vit une inflation très importante liée à la politique de son leader. C’est un vaste sujet que je n’aborderai pas ici. Ce que je peux dire, c’est que les gens ont de plus en plus de mal à joindre les deux bouts.

Après avoir dépensé 140 € pour la visite du palais de Topkapi (sublime au passage) et un repas sur le pouce, on va devoir repenser notre séjour dans cette ville ! En fin d’après-midi, on retrouve Andree, le cycliste allemand rencontré sur le ferry, pour un « çay » (un thé) dans un endroit qu’il veut nous faire découvrir et qu’il a déniché en déambulant. Un endroit fréquenté par des Turcs et loin des hordes touristiques. J’ai un déclic, comme une évidence : il faut visiter Istanbul loin des sites, se l’approprier, en faire quelque chose à soi. C’est une ville qui regorge de pépites cachées, de quartiers populaires : celui où nous avons posé nos sacoches en est d’ailleurs un. Dorénavant, on laisse notre guide au fond du sac et on va où nous portent nos pas. Observer la ville en mouvement, se promener au hasard des rues et être au cœur du quotidien des Stambouliotes est une expérience qui nous convient et qui est en accord avec notre voyage. Nous nous rendons chaque jour dans un nouveau quartier, des deux côtés du Bosphore et du côté asiatique. On prend le temps de baragouiner avec les commerçants et les artisans locaux, profitant de leurs sourires et de leur gentillesse. Je bois mon Nescafé dégueux tous les matins, juste parce que c’est Istanbul et qu’on me le sert avec le sourire. De nombreux çay aussi, pour être dans la tradition : thé noir servi dans des petits verres en forme de tulipe. On se laisse vivre sans grandes ambitions et on se régale !

Sinon, Istanbul c’est aussi l’occasion des rencontres et des retrouvailles avec des cyclistes rencontrés ailleurs : on échange, on partage, on devient polyglotte !


La religion

La religion et plus encore la place des femmes me questionnent beaucoup dans ce pays. Même si tout le monde n’est pas musulman, on vit au rythme de l’Islam à travers l’appel à la prière. Où que l’on soit, on l’entend cinq fois par jour, proclamée des nombreux hauts parleurs ou directement depuis l’une des nombreuses mosquées : on n’est jamais bien loin de l’une d’elles. Il y en a énormément, dans les villes comme dans les villages, toujours magnifiques.

Beaucoup de femmes portent le foulard, plus rarement le niqab. Il y a aussi beaucoup de femmes sans signe particulier, certaines plus occidentalisées que d’autres, ce qui ne veut pas dire qu’elles ne sont ni croyantes ni pratiquantes. Je pense qu’il est difficile de trouver vraiment sa place dans un pays où la religion est aussi présente et de savoir se positionner en vérité devant la religion. Je me demande toujours la part de liberté des uns et des autres, homme ou femme. Je me demande ce que la religion représente pour chacun et chacune, la place de Dieu dans leur vie. Vivre au quotidien au contact d’une religion questionne forcément sur ses propres croyances, sur sa propre foi. Depuis que je suis en Turquie, je passe beaucoup de temps à pédaler en me demandant de quelle manière la religion est présente dans ma vie, ce qu’elle m’apporte.

Un autre élément présent dans le quotidien des gens en lien avec la religion est l’alcool. Difficile d’en trouver aux alentours des lieux religieux et même dans beaucoup d’autres lieux de consommation. On peut en trouver dans certains bars plus touristiques et dans certains magasins. Ce n’est pas vraiment un problème de s’en passer, mais l’interdit surprend. Il y a d’ailleurs beaucoup d’hypocrisie autour de ce sujet. La nuit venue, certains Turcs boivent beaucoup. On nous déconseille d’ailleurs de rouler le soir à cause des conducteurs éméchés. On trouve aussi beaucoup de bouteilles de bières brisées sur le bord des routes. Les débris qu’elles font nous demandent d’ailleurs une grande vigilance quand nous sommes à vélo. Je me demande souvent si les gens ne se débarrassent pas ainsi de l’objet de leur délit,  en le  jetant par la fenêtre de leur voiture. Pas vu pas pris !


Mais encore

Les chats sont les rois de la ville : ils sont partout et font partie de la vie de quartier. Les Stambouliotes les nourrissent, prennent soin d’eux et les autorisent à investir chaque endroit. Une nuit alors que nous sommes dans un hôtel de plein pied sur la route de l’Anatolie, un petit chat gris se faufile par la fenêtre au milieu de la nuit et s’installe confortablement dans notre lit. Quand je m’en aperçois, il ronronne si fort que je n’ose pas le déloger 😻. Il repartira au petit matin. Plus tard, c’est un p’tit rouquin qui viendra faire le tour du propriétaire avant de repartir lui aussi.


Les chiens sont moins présents en ville mais on en voit beaucoup sur notre parcours. Après avoir fait polémique il y a quelques années car ils étaient devenus un vrai problème (on voulait tous les exterminer ! ), le pays a opté pour une version plus sage. Les chiens errants ont été vaccinés, ils sont pucés à l’oreille et les gens en prennent soin. Sur notre chemin, ils roupillent sur le bord des routes, levant vaguement la tête quand ils nous voient passer. Ils sont souvent à plusieurs et ceux que nous avons croisés ne se sont pas montrés agressifs. Il faut tout de même s’en méfier et ralentir quand on en croise.


Petite pensée perso au sortir du Palais de Topkapi : on doit mettre un foulard sur la tête pour visiter la partie religieuse. En sortant dans la cour à droite, il y a l’endroit où l’on coupait les couilles de certains mâles pour en faire des eunuques. Un peu plus loin encore, on enfermait les femmes du sultan dans un poulailler de luxe : le harem. On prie, on émascule, on enferme … Tout un programme.


Nous avons quitté Istanbul depuis quatre jours et nous faisons route vers l’Anatolie et la Cappadocia. Une étape qui devrait être bien différente loin des grandes villes et en autonomie. On vous racontera tout ça dans quelques semaines. 

Les photos que nous publions ne sont pas des photos d’Istanbul mais des photos à Istanbul. Il y a une nuance.

À bientôt.

Architecture urbaine
Artisanat local, de belles rencontres.
Thé, boulangerie, deux incontournables...
Vitraux des mosquées.
Mosquées nombreuses et belles.
Tramways , pratiques pour les déplacements !
Au Grand Bazar, on trouve un peu de tout !
Belles rencontres entre voyageurs à vélo.
Istanbul et ses lumières de fin de journé/nuit.
Quand la tradition rencontre la modernité
Le chat, omniprésent à Istanbul, un peu le roi de la ville.
Le sultan du palais de Topkapi, c'est lui 🫢
Les mots francophones

Une Suissesse à Istanbul 

Ce soir, c’est soirée au TIYATRO ! J’ai fait ma RÉZERVASYON online, et  pour l’occasion, je vais dans une BUTIK de TEKSTIL pour qu’on me confectionne une robe décente. J’achète un faux sac HERMÉS au grand bazar : tout est conforme hormis l’accent qui est dans le mauvais sens 🙃, un détail ! De toute façon, personne ne s’en rendra compte, il faut être connaisseur ! Je fais aussi un saut chez le KUAFÖR pour un brushing vite fait. Au moment de partir pour le spectacle, je décide de prendre un TAKSY. Le SOFÖR ne parle pas un mot d’anglais et il ne semble pas prendre la bonne DIREKSİYON. Sa conduite est aléatoire et il manque d’écraser un couple de touristes à BISIKLET. Ils sont là avec leurs grosses sacoches : je me demande bien ce qu’ils font dans cette circulation infernale ?! Une heure plus tard, mon TAXSI me dépose devant un SINEMA, très content de lui 😳. Bon, impossible de lui expliquer quoi que ce soit, et à cause du TRAFIK, je n’arriverai plus à l’heure. Quand je descends du véhicule, la POLIS lui tombe dessus ! Tu m’étonnes ! Je regarde l’affiche du film : je ne comprends pas le titre et je ne connais aucun des AKTÖR ! Je décide alors de changer mes plans et d’entrer dans le premier RESTORAN venu. La DEKORASYON est très ŞIK mais je m’aperçois que j’ai oublié mon sac dans le TAKSY. J’ai juste de quoi me payer un KAVHE. Je rentre dans le STAR BÖREK du coin dont j’apprends qu’il est en procès avec  Starbucks à cause d’une usurpation maladroite d’identité. Il fait aussi office de bar. Le KAVHE est dégueulasse, pas moins que dans un vrai Starbucks, mais le serveur est FRANKOFON et nous pouvons échanger quelques mots. Quelle n’est pas ma SÜRPRİZ quand je vois rentrer le SOFÖR avec mon sac à la main ! «Sahte », me dit-il en souriant 😀 . « Ça veut dire que c’est un faux », me traduit le serveur ! J’ai donc affaire à un connaisseur ! J’ai un peu honte d’avoir été démasquée mais je lui offre un verre pour le remercier : il prend un KOKTEYL pour se remettre de ses émotions. Il s'arrangera avec Dieu plus tard...  Décidément, ce garçon est bien surprenant ! Il nous raconte qu’il a eu affaire à des JANDARMA, et qu’ils sont encore plus corrompus que les autres : ça lui a coûté quelques lires ! Le serveur met de la MÜZİK pour détendre l’ATMOSFER. Ce n’est pas la folle AMBİYANS mais je passe un moment agréable. A la fermeture, le serveur sort une bouteille de vin de derrière les fagots et l’ouvre avec le TİRBUŞON de mon couteau suisse car il n’en a pas ! Le chat roupit sur le SOFA. Je me dis que nous formons un drôle de trio accoudés au bar ! Le SOFÖR demande au serveur pourquoi je suis si bien habillée pour sortir seule à Istanbul ! Il est tout gêné quand il comprend qu’il m’a déposé au mauvais endroit. Il me sourit de toutes ses dents et lève son verre à ma santé. A la fin de la soirée, je suis complètement éméchée, c’est le SOFÖR qui me ramène. Quand je descends, il s’assure que j’ai bien tout pris avec moi. Arrivée dans le HOL de l’OTEL, la RESEPSIYONIST me dit que l’ASANSÖR est en panne. Un problème ELEKTIK ! Tout à coup, j’ai un haut le cœur : je cherche rapidement des TUVALET du regard : j’y vomis tout le contenu de ma soirée. Je n’ose même pas me demander ce que pense de moi la femme portant un foulard et qui sort de la cabine d’à côté. Je me contente de regarder mes chaussures. Quand j’arrive enfin dans ma chambre après huit étages à pied, je m’écroule sur le lit, je n’ai même plus le courage de prendre une DUŞ. Je repasse ma soirée en revue : j’aurais mieux fait de passer à la MiGROS (avec un i minuscule : je ne sais pas si la Turquie est en procès avec la Suisse pour cela !) pour m’acheter du ÇIKOLATA que j’aurais mangé en regardant la TELEVIZYON !!

Tous les événements racontés ici s’inspirent de faits inventés. Seuls les deux cyclistes existent vraiment. Et le Star Börek ! 



5 commentaires

dollyvuka

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  • il y a 2 mois

Manunoyer

Merci pour ce récit ! Quelle inspiration ! Une vrai découverte ces mots phonétiquement proche du français,vous savez pourquoi ?

  • il y a 2 mois

NadNad

Ah ouf! Un court instant, j'ai cru que tout était réel. Je me disais que tu avais l'art de faire les bonnes rencontres mais j'étais quand même surprise de te savoir sans JL, à moitié bourrée...
Un beau texte à étudier avec les élèves! :-)

  • il y a 2 mois

Julielefort

Incroyable ce texte ! Tu m as bien fait rire!!
On est dans le train vers Rome, 1ère semaine des vacances, je vais bien penser à toi !!

  • il y a 2 mois

Manunoyer

Coucou les voyageurs. Je reprends vos récits de voyage avec plaisir tant vous arrivez à nous téléporter....à la frontière de l Orient, avec 1 mois de retard suite à notre périple en Amérique du sud pour aller voir le fiston ;) . On reprend le fil !

  • il y a 4 semaines