PARIS épilogue

Publiée le 02/01/2018
Plaque tournante trafic aérien : Doha. Changement d'avion et en route pour Paris

crevaison

les épineux et les clous traversent les pistes et s'amourachent des pneus de voitures de passage. Ils vivent un amour éphémère, un souffle et puis s'en vont.

3ème crevaison

EPILOGUE

Pour engranger du rêve, nous n'avons pas hésiter, direct la Namibie.  C'est où la Namibie ? ""A gauche de l'Afrique du Sud"". La formule choisit : le camping, afin d'être au plus prêt de la nature. Nous sommes passé par une agence <<Secrets du monde sauvage>> 

http://www.secretsdumondesauvage.fr Au commande Magali Bachet. Outre le temps gagné grâce au road book, Magali est une perle rare. Qu'importe les horaires, toujours présente d'efficacité, très réactive, au petit soins pour nous, formidable Magali.

Le road book est bien conçu, avec les bons coins à visiter, les relevés GPS, les kilomètres, les réservations, les prix. En poche le guide Lonely planet. téléchargement de l'application GPS : tracks4Africa (payante mais très efficace).

Sur place, félicitations à la société de location de voitures : Britz : www.britz.co.za. 4x4 super confort et sécurisant, les tentes sur le toit, tout l'équipement pour être autonome, le matériel est en bon état. Il le faut car la tôle ondulée peut vous occasionnée des descentes d'organes !

La saison : on a choisit octobre, donc pas de pluie. La chaleur à toujours été tempérée par le vent. Les nuits ont à supporté le duvet, le nez dans une myriade d'étoiles. On a vu beaucoup d'animaux, des déserts de solitude incroyable, peu de rencontre avec les Namibiens. . Regrets, on a pas vu de lions ni de léopards. Tous les matins rangement complet du bivouac, 2 heures.

On est allé 6 fois au resto et on s'est régaler; Le reste du temps on s'est fait à manger, convivialité assuré. Les zones de ravitaillement n'étant pas nombreuses, Il ne fallait pas les louper. On a engloutit 6 kg de viande, des ananas, des bananes (grillée) des pâtes, des légumes (ratatouille) des omelettes au bacon tous les matins, café, thé, quelques bouteilles de whiskies (1 ou 2 ?) du vin (quelques décilitres), pas mal d'eau. 

On a parcouru 6000 kms, c'est beaucoup et les 3 semaines ont été courte. On à brulé 1000 litres de gas-oil, 3 crevaisons, un par-choc tordu (maudit trottoir, c'est moi), une rayure sur l'avant (maudit piquet, c'est moi) et tout le côté gauche rayé comme un zèbre, par  les épineux du bord de piste (maudit René, c'est lui)

Les chefs : GPS et Cuistot.
l'écrivain et pilote en quête d'inspiration

MAIS ENCORE

<<Ha ! mais alors trop facile votre périple. Ben oui ! mais il n'y a pas que ça>>.

Passé l'euphorie de s'être envoyé en l'air à 10000 mètres d'altitude, pendant 19 h00, à l'arrivée, la réalité et le caractère de chacun vous rattrapent. A ce moment là, si tu veux pas reprendre l'avion immédiatement, faut vite analyser la situation et mettre la pédale douce dans les rapports. Au bout de quelques jours, la clim se règle entre les protagonistes et LA, le voyage commence. Donc attention aux tensions entre les participants, qui, a mon avis, sont inévitables mais je pense nécessaire à l'adaptation de chacun aux nouvelles conditions de voyage auquel peut sont préparés. N'oublions pas que ce n'est pas un voyage organisé par un tour opérateur et que on va passer 3 semaines ensemble.

L'équipe se rode au fur et à mesure des kilomètres, naturellement chacun trouve sa place. Il est temps de s'imprégner, de rentrer en osmose avec le voyage. Prendre sont temps, être comme le sucre,  se diluer dans le ressentit des odeurs, des paysages, des personnes rencontrées et enfin, lâcher prise. Exercice difficile j'en conviens.

Et puis, une fois rentrer à la maison, la mémoire, comme le vin, va nous apporté ses arômes, ses parfums de souvenirs. Voila le but est atteint, les souvenirs nous possèdent., 

Vous nous avez suivit depuis le début, sur le tarmac  la fumée des pneus de l'Airbus s'est volatilisé mais pas votre insatiable curiosité, la preuve vous êtes encore avec nous, alors merci de votre fidélité. Merci aussi à nos compagnes qui t'elle des femmes de marins ont attendu que la marée nous ramène à la maison. Au revoir à tous.. Marcel, René, Eric

bagages or not bagage !

Quel contenant privilégier ? sac à dos ou valise ?  Personnellement je choisi le sac à dos., avec housse de protection. Pour son rangement je roule les chemisettes les fourrures polaire et les pantalons. La trousse de toilette et les médicaments sont dans des pochettes transparentes. J'ai aussi une bouteille Thermos. j'aime le côté ""baroudeur". Mais le coté ""cadenas"" est plus délicat à gérer.

La valise à ses côtés pratiques, elle roule, les affaires sont rangée différemment . Elle ferme mieux à clef. Selon la marque (delsey ou carrefour) ça vous range dans la 1ère classe, Business ou Economy. La décoration est aussi un facteur de choix.

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