Osh

Publiée le 22/07/2019
Quatre jours tranquilles à Osh

A Osh, le programme est plutôt calme : beaucoup de restaurants pour reprendre quelques forces après 2 semaines d'intense frugalité et préparation du reste du séjour au Kirghizistan. Et pour nos noces de coton, Virgile est justement empoisonné à l'huile de coton... 

Dans notre confortable auberge de jeunesse, nous rencontrons Justine, une voyageuse qui a acheté une Lada au Kirghizistan et qui compte rentrer à Rennes par la route. Elle a déjà pas mal voyagé dans le pays et nous donnera de bons conseils.

Osh est un peu à l'écart des lieux que nous souhaitons visiter et il nous faudra donc faire le trajet jusqu'à Bishkek (la capitale) pour pouvoir ensuite rejoindre notre première destination : Karakol. Pour nous rendre à Bishkek, nous avons réservé 2 places, dans un taxi collectif mais nous avons bien cru ne jamais arriver : notre chauffeur faisait des pointes de vitesse à 170 kmh tout en envoyant des textos sur les routes défoncées du Kirghizistan... Nous avons frôlé l'accident sur certains de ses dépassements et malgré nos cris, le fou furieux continuait à avaler les kilomètres à une allure invraisemblable. Il a fallu que Virgile exige que l'on s'arrête, en pleine montagne, et que nous quittions la voiture pour aller faire du stop pour que le chauffard accepte enfin de rouler à une vitesse raisonnable.

Nous arriverons à Bishkek tard dans la nuit et repartirons le lendemain matin pour Karakol.

Petite appréhension avant de gouter le koumys : lait de jument fermenté
La "petite" pizza de Virgile
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