Empreinte carbonne) La queue, merci Boris 😱 5 étapes avant d'être dans le train... Scan des billets, Passeports côté francais, scan automatique côté anglais, check des bagages et queue a la porte d'embarquement, finalement kif kif par rapport a l'avion (sauf que 1 voyage en avions = 13 trajets en eurostar.
Mais bon départ a l'heure et 2h15 plus tard, arrivée à Londres
Je crois que Quentin est content de pouvoir vivre en anglais, lui qui a son téléphone en anglais, regarde films et séries en anglais, peut lire en anglais...
J'ai choisi un Hôtel volontairement proche de la gare, Chambre propre, salle de bain très sympa. Personnel sympa et les petits dej ont l'air d'enfer.
Le temps de poser les valises et nous partons a pieds vers la Nationnal Gallery en s'arrêtant au passage pour déjeuner.
Je confirme ce que nous avions lu avant de partir, les restos offrent vraiment de vraies alternatives vegetariennes' les plats sont annotés comme tels (et ce s'est confirmé ce soir). On a donc testé une espèce de pub où Quentin a pu manger un VRAI burger beyong meat.
Ventre plein et 20 minutes a pieds plus loin, la Nationnal Gallery (gratuiiit) avec une queue très rapide.
Nous avons passé le plus de temps chez les impressionnistes et vu quelques tableaux connus (et appréciés) de Quentin. Nous y aurons passé 2 grosses heures.
En sortant je voulais passer par soho et Chinatown . Nous avons croisé Picadily Circus (on m'avait dit "enméne le la bas") qui a été un gros flop avant de continuer par soho. La encore même si les façades sont jolies et chinatown rigolo, il y a réellement trop de monde 🙈 vivement le silence de l'Écosse.
Retour à l'hôtel où j'ai pu enfin trouver du réseau 4G après plusieurs essais et manips. J'avoue que je le sentais très.mal en Ecosse sur les routes sans gps 😬
C'est en fin de journée que nous sommes sortis dîner. Pour les habitués de nos blogs culinaires, pas de photos de bouffe 😅 désolée. Mais en globalité c'etait chez Mai sushi, c'était bon et au calme. On ne se croyais plus dans la même ville...enfin pas tant que nous ne sommes pas revenus sur les grandes artères.
