Une nouvelle fois, consacrée aux transports. Depuis Sukhotaï, un tuc-tuc nous dépose au bus qui, en sept heures nous ramène à Ayutaya. Malheureusement sur le bord du périphérique, un peu ébêté .Qu’à cela ne tienne, nous trouvons sans peine un taxi pour la gare. Là, il nous faudra attendre 4 heures pour le train..
N'ayant pas eu de vrai repas de la journée, à part notre petit déjeuner, nous allons nous installer dans un petit bar resto. Et hop le patrons nous demande d'où l'on vient, et ni une ni deux , il nous sort sont petit drapeau Francais, le pose sur la table et fait une photo de nous. On doit certainement être sur sa page Facebook ou Instagram, on a trouvé ça drôle, d'autant plus que se sont installé aussi, un australien et en Anglais sur sur d'autre table. Alors le patron a contacté un ami à lui, qui a sorti sa guitare et a chanté des chansons pendant que nous mangions. Moment très cool au final
Mais il est l heure de prendre notre train. De nouveau une troisième classe qui, poussivement nous mènera à bon port. Et encore cette curiosité des Thailandais de voir des étrangers assis sur ces bancs en bois inconfortable et dans cette voiture sans clim! Il est 23 heures, nous nous effondrons sur le lit d’un hôtel type formule 1 mais qui fait le job. Le voyage c’est aussi ça, des temps ou il ne se passe rien. Et pourtant, il y aurait tant à dire. Les passagers, touristes ou locaux, qui forment un patchwork de nationalités et de communautés. L’effervescence à chaque arrêt où montent et descendent une multitude de vendeurs à la sauvette. Les paysages qui défilent et laissent deviner une autre Thaïlande que nous n’aurons pas le temps d’approcher.