en route vers BANKOK

Publiée le 10/05/2025
Allons voir la Capitale

Nous entamons la dernière,partie de notre voyage. Retour vers Bangkok. De nouveau dans un chenillard bondé. En face de nous une femme d’une soixantaine d’années accompagne deux jeunes enfants. Une fillette d’un dizaine d’année et un garçon d’environ 6 ans. Quelques larmes s’échappent des yeux de la petite. Sa mère ? Sur le quai a également les yeux mouillés. Elle porte un bébé dans les bras. Durant tout le voyage, les deux enfants ne sortirons pas un mots. Enfermé dans un mutisme, nous sommes songeur quand à leur destinée. Nous arrivons à échanger quelques mots avec la dame qui nous partage son déjeuner, de tranches de papaye verte trempées dans une sauce de poissons fermenté. Gloups , et vous n avez pas l'odeur… Nat ne trempera pas sa papaye .....


Bangkok. Le mot même déclenche un imaginaire fait de lieux grouillants, bruyants et pas toujours légaux, mais nous sommes excités à l’idée de découvrir ce qui l’en est réellement.


De trains en métros, nous finissons les deux derniers kilomètres en marchant. La traversé d’un quartier aux ruelles si étroites qu’aucune voiture n’y pénètre et d’une voie ferrée finissent de nous achever. Heureusement, l’hôtel, sur les rives du Chao Phrayay, est très sympa. Qui plus est à deux pas d’un arrêt de bateau bus.


Et c'est reparti
La papaye et la sauce poisson pourri
Les abords de la voix Ferré
Bangkok en vue
A la recherche de nôtre hôtel
On traverse les voies ferrées
On traverse les voies ferrées

Le temps d’une douche et nous repartons pour une mission que je tiens à évacuer rapidement. L’achat d’un téléphone au Central World. Folie riche d’enseignements. Sur abondance, délire lumineux, frénésie de l’achat. Une société en total contradiction avec les préceptes Bouddhistes prônés par une religions qui ne fait plus le poids face à cette fuite en avant.


Le grand mall
Incroyable mall
Pas moins de 8 étages

Il fait noir quand nous sortons de cette tour infernale. Plus de bateau pour rejoindre notre logement. Nous trouvons un tuc-tuc. L’ancien qui conduit nous demande notre nationalité. Après avoir appuyé sur quelques boutons. Le tricycle s’illumine et nous partons à travers la ville au son d’Aznavour. Situation surréaliste et je me laisse aller à chanter …. Emmenez moi au bout de la terre …


Vue de la terrasse de l hotel
A la votre
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