SALAR DE UYUNI

Publiée le 12/03/2020
4 jours pour découvir le sud Lipez et le salar d’’Uyuni

JOUR 1 - Les lamas

Alors je commence par quoi ? Les paysages, les animaux, la voiture ? On est 7 en tout, 5 touristes, un driver et une cuisinière dans une grosse Land Rover. Un couple d’anglais de Londres, un couple franco-japonais, lui de Martinique, elle de Nagoya. Nous sommes tous très excités de partir. On adopte l’anglais comme langage pour tout le monde parce qu’on est plusieurs à ne pas bien maitriser le japonais et que les anglais ne parlent pas français. 

Première pause photos peu après la sortie de Tupiza pour voir le canyon des Cigares. Ce sont des formations rocheuses, vous l’aurez compris, en forme de cigares. Notre chauffeur-guide Anselmo a l’air très sympathique. Démétria notre cuisinière est discrète mais souriante. On part sur une piste qui monte dans la montagne. On recommence la ruta del Wouahhh. Mais, moins d’une heure après notre départ, crevaison. Un petit quart d’heure pour mettre la roue de secours et on repart. 

La journée commence par des paysages grandioses et ça ne s’arrêtera pas jusqu’au soir. C’est bien sûr très montagneux et on monte, on monte jusqu’à presques 5000 mètres. A un moment Anselmo nous arrête au milieu d’une plaine où paissent tranquillement un grand nombre de lamas. Il a de l’espace pour réparer la roue de la voiture et nous de quoi nous occuper avec tous ces lamas. Comme tous bons touristes on adore les lamas. On en a déjà vu pas mal le long de la route mais là c’est carrément un troupeau. Il y a plein de bébés. Ils sont vraiment trop mignons. Et les petits sont hyper curieux. Dans l’ensemble les lamas ne sont pas très farouches et se laissent approcher à distance raisonnable. Ce ne sont pas des lamas sauvages. Ils vivent en liberté mais ce sont des bêtes d’élevages. Dans cette région de montagnes, les gens vivent essentiellement des lamas ou de l’exploitation des mines. Il y a bon nombre de mines d’or, argent, cuivre notamment. Elles sont actuellement exploitées par de petites coopératives. 

On en profite donc pour prendre des photos de lamas et s’immerger dans ce paysage tranquille pendant que notre chauffeur répare la voiture. Il a tout ce qu’il faut avec lui. Il est équipé pour toutes les pannes ou quasi. Une fois le pneu réparé on repart pour de bon cette fois. On a perdu une heure mais Anselmo ne nous stressera pas pour avancer de toute la journée. Il continue le programme prévu sans essayer de rattraper le temps perdu. 

On continue donc notre route. En chemin il nous explique quelques trucs. On apprend à différencier les lamas, des alpagas et des vigognes. Tout ça c’est la même famille, comme les guanacos qui vivent en patagonie. Mais les vigognes sont des animaux sauvages et beaucoup plus craintifs. Elles sont de couleur fauve et plus fines, plus graciles et plus petites que les lamas. Les lamas peuvent être de couleur blanche, marron, noire, ou de plusieurs couleurs. Les alpagas sont plus racés. Parfois il y a des chiens qui gardent les troupeaux. A un moment il y en a un qui court après notre voiture pendant hyper longtemps en nous aboyant dessus. Il n’a pas l’air commode. On se méfie des chiens depuis qu’un touriste qui était à notre hôtel à Tupiza s’est fait méchamment mordre et a du se rendre La Paz pour se faire vacciner. Autant les chiens en Argentine étaient super zens autant ici ils sont agressifs. 

On s’arrête dans un petit village pour déjeuner. Démétria se met aux fourneaux dans un endroit où on a accès à une cuisine. Le déjeuner est simple mais bon. On ne mange pas trop car on sait qu’on va beaucoup monter en altitude aujourd’hui et si on mange trop, toute notre énergie passe dans la digestion et il devient encore plus difficile de s’acclimater à l’altitude. 

On reprend la route sitôt terminé car la journée est encore longue. 

Plus on monte, plus il fait froid. On voit même de la neige sur certains sommets et également en bord de route par endroits. Dans l’après-midi, après avoir fait de nombreux stops photos tellement les paysages sont grandioses, on arrive à un village fantôme. Ce sont les ruines d’un ancien campement d’espagnols. Ici ils exploitaient des mines. Enfin, ils se servaient des indigènes comme esclaves pour exploiter les mines. Au bout d’un moment, après avoir décimé la presque totalité des autochtones à force d’accidents dans les mines, ils ont fini par partir. Aujourd’hui il reste les ruines des maisons, du cimetière et de l’église, ainsi que les entrées des mines. Elles sont inondées et donc laissées à l’abandon aujourd’hui. 

Nous sommes à 4800 mètres et c’est un peu dur de respirer. Anselmo et Démétria eux ils mâchent de la coca tout le temps. Il parait que c’est pour l’altitude mais bon, on a plutôt le sentiment que c’est une vraie habitude. De toutes façons je l’avais déjà remarqué, tout le monde mâche de la coca. Anselmo nous propose d’essayer alors on se laisse tenter. On machouille et très vite on sent que notre langue est légèrement anesthésiée. Moi qui avait mal à la tête (à cause de l’altitude), en quelques minutes je ne sens plus rien. Et c’est vrai que ça réveille un peu. Je comprends mieux pourquoi il en mâche tout le temps. Pour la conduite ça doit l’aider. 

On finit la journée par le volvan Turuncu et la laguna Morejon. Tous ces paysages qu’on a vu en une journée, c’est incroyable. C’est reparti. On a encore de la route et le jour commence à décliner. On arrivera à notre hébergement il fera déjà nuit. Le temps que notre cuisinière fasse le repas il est 22h. On est tous crevé. Le diner s’est fait attendre mais c’est super bon. Après cette journée bien remplie on va se coucher direct. Pas de douche, pas d’eau chaude et vu comment il fait froid, personne n’a envie de tenter la douche froide. On dort tous ensemble dans un dortoir. Réveil 6h pour un départ à 7h le lendemain.

JOUR 2 - Les flamingos

Au réveil, grand beau temps. On part à l’heure et on s’arrête rapidement pour quelques photos. Un peu plus loin on croise un renard. Il est trop beau. Il s’enfuit, se cache derrière une touffe d’herbe et nous regarde un moment. Photo ratée, j’avais oublié de changer mes réglages de la veille. Dommage... On continue vers la route des lagons. La région est parsemée de lagons et nous allons en visiter quelques uns qui sont sur notre route. Autour de nous les monts sont bien enneigés et il fait hyper froid. 

Autant la journée d’hier c’était celle des lamas, autant aujourd’hui, c’est celle des flamants roses. On va en voir toute la journée. En fait, à chaque lagon il y a des flamants en nombre plus ou moins élevés. Ils sont trop beaux avec leurs longues pattes qui fouillent la vase. Ils passent leur temps à chercher à manger. On passe par : laguna Edonda, Colpa Laguna, mirador del Chelbiri avec la cordillère des Andes qui marque la frontière avec le Chili, puis on aborde un désert ponctué de gros rochers expulsé par le volcan. Il s’appelle le désert de Salvador Dali car il ressemble énormément à un de ses tableaux. Dans le fond, on perçoit des montagnes de plusieurs couleurs. Elles sont différentes de celles d’Hornocal car les couleurs ne sont pas par strates mais plutôt des touches comme de la peinture qui dégouline. On se dirige vers elles. C’est là que se trouve la laguna blanca et la laguna verde. Qui est revanche n’est pas verte en ce moment à cause des pluies. Quelles pluies ? Celles qui s’annoncent par exemple. Le temps change très vite ici. On rebrousse chemin vers les sources d’eau chaude où on doit se baigner et déjeuner. Le ciel est tourmenté et on entend l’orage. On repartira après le déjeuner sous la pluie. On va voir les geysers qui sont encore plus haut. alors évidemment la pluie devient de la neige et en une heure de temps on se retrouve dans un paysage digne du grand nord. Les geysers on verra surtout leur fumée dans la neige. Et il fait tellement froid. On quitte les geysers pour rejoindre notre dernière étape de la journée : La laguna colorada. 

On arrive là-bas il pleut et il vente. C’est glacial et honnêtement je me demande si ça vaut le coup de sortir de la voiture. Allez, je m’emmitouffle avec tout ce que j’ai dans la voiture et je sors accompagnée de mes acolytes. La laguna Colorada est tout simplement magnifique. Elle s’étend des deux côtés du sentier. L’eau est presque rouge par endroits et il y a des centaines de flamants roses. Malgré la pluie et le froid glacial l’endroit est saisissant de beauté. Les flamants, imperturbables maglré les mauvaises conditions météo, continuent leur danse les pieds dans l’eau. Je ne regrette pas d’avoir bravé la tempête pour profiter de ce spectacle. Je suppose que par beau temps ce paysage doit être encore plus beau. Je reviens à la voiture complètement trempée et transit de froid mais émerveillée par ce que nous venons de voir. Nous essayons tant bien que mal de faire sécher nos affaires dans la voiture et de nous réchauffer.

Notre hostal, même s’il est un peu sommaire, comporte une douche avec eau chaude et nous en profitons à peine arrivés. Ensuite un bon dîner préparé par Démétria et une bonne nuit de sommeil.

JOUR 3 - Le Salar

Réveil à 6h et départ pour la visite des canyons. Depuis deux jours nous étions envahis par les montagnes, aujourd’hui on change de paysages. 

On commence par plusieurs endroits où l’on peut observer des formations rocheuses étranges et qui laisse deviner des silhouettes d’animaux ou des visages humains. Ce sont toutes des roches volcaniques. En fait toute la région est volcanique. En voyant ces paysages on ne peut qu’imaginer l’activité qu’il a du y avoir à une époque. On se promène chaque fois au milieu de ces roches immenses et souvent incongrues dans le reste du paysage qui est plutôt désertique. On s’arrête comme ça à plusieurs reprises. Puis on se dirige vers la laguna Negra, qui, comme son nom l’indique, est noire. Le spot est super beau. En revanche, il y a un groupe d’étudiants en voyage scolaire qui campe sur le lieu. Autant dire que ça gâche un peu le plaisir car ils mettent la musique à fond, sont partout et malgré la beauté du lieu on ne s’attarde pas. On repart par un sentier qui lui est déserté et débouche sur une praire pleine de lamas. Ils nous laissent approcher sans crainte. On fait encore quelques photos évidemment...

Ensuite direction le canyon de l’anaconda. On l’appelle comme ça car la rivière qui serpente au fond du canyon ressemble à un anaconda. Le canyon est tout simplement grandiose. Il y a un promontoire rocheux qui s’avance dans le canyon et nous y allons pour mieux voir le fond. Clairement un endroit pareil ne pourrait pas exister chez nous. C’est hyper dangereux et il n’y a aucune protection. Mais c’est d’une beauté époustouflante. On prend encore masse de photos bien sûr. 

Je ne sais pas comment il se débrouille notre chauffeur mais on est toujours seul ou à l’inverse des autres voitures. Là on est arrivé 10 mn avant tous le sautres. Même s’ils ne sont pas très nombreux (c’est la basse saison et la situation en bolivie fait qu’il y a moins de touristes que d’habitude) c’est quand même appréciable d’être seuls. 

Nous déjeunerons sur l’herbe dans le canyon des lamas. C’est pas compliqué, il y en a partout autour de nous. Démétria s’est levée à 4h du matin comme tous les jours pour anticiper le déjeuner. C’est carrément incroyable ce déjeuner au milieu de la pampa. 

Nous continuons notre route vers le salar qui est notre ultime destination. Il y a deux routes pour arriver au salar. Le problème est que l’une d’elle peut être coupée s’il a trop plu. Et il a plu la veille. Mais les infos ne sont pas claires donc Anselmo décide de le tenter quand même car c’est vraiment la plus belle route, celle qui nous permet de dormir dans un endroit privilégié car très bien situé entre les montagnes et le désert. Nous faisons une pause dans un village au bord du désert, au milieu de nul part.. Petit bière artisanale parfum cactus ou feuilles de coca. Ensuite direction notre hôtel. 

Aujourd’hui nous avons vu énormément de champs de quinoa. Les champs sont de petites tailles mais il y en a en nombre. Nous nous sommes arrêtés dans un champs pour qu’Anselmo puisse nous expliquer comment ça se passe. Les plants sont vraiment jolis et lorsqu’ils sont mûrs ils deviennent rouges ce qui donne au paysage de très belles notes colorées. Ca change après les paysages tres arides que nous avons croisés pendant les jours précédents. En bordure du salar c’est pareil. Il y a de nombreux champs de quinoa. Cela contraste avec le désert qui est juxtaposé. 

Aujourd’hui j’ai lancé Anselmo sur les questions politiques.  Je n’ai pas eu besoin d’insister beaucoup. En gros, dans les campagnes il est très apprécié tout simplement parce qu’il a énormément agi pour les communautés et les petits villages. Les champs de quinoa, les coopératives minières, la nationalisation des mines, les routes asphaltées, tout ça c’est lui. Alors forcément ici on l’aime. Les gens sont très mobilisés pour la campagne et tout le monde va voter. Et ceux qui ne votent pas sont sanctionnés. Les élections sont le 3 mai prochain. Si je dois revenir en Bolivie ce sera avant car les risques de manifestations si le parti de Morales ne passe pas sont élevés. 

Nous arrivons à notre hôtel. C’est un bâtiment entièrement construit en sel. C’est hyper joli. Les murs, les lits, les tables, les chaises tout absolument tout est en sel. Le sol est en gros sel et crisse sous nos pas. Après un petit break et la pause de la roue de secours car nous avons une nouvelle crevaison sur un autre pneu, nous partons pour assister au coucher de soleil sur le salar de Uyuni. 

Une route s’avance sur le désert de sel. D’un côté c’est quasiment un lac car en cette saison il pleut encore beaucoup et de l’autre côté il y a de l’eau par endroit ou pas. L’horizon se confond avec le sol blanc. On ne sait plus où est la terre, ou est le ciel. Là où il y a de l’eau, le relief et les nuages se reflètent. C’est magique. Il n’y a rien de comparable à cet endroit. C’est le plus grand désert de sel du monde et en cette saison il est unique. On marche sur l’eau du côté où l’eau est juste de qq centimètres. On regarde de tout côté et on ne sait comment décrire ce que l’on voit avec des mots. On reste là jusqu’à ce qu’il fasse quasiment nuit. 

Au retour une douche sommaire car on a du mal à avoir de l’eau chaude puis un super dîner avec un cocktail en apéro et une bouteille de vin bolivien. Pendant ce temps là, Anselmo répare notre roue avant. 

Demain le réveil est à 4h30, on doit être parti à 5h pour voir le levé de soleil sur le salar. 

JOUR 4 - L’île aux cactus

Le réveil est dur mais personne n’a très bien dormi. Il a beaucoup plu toute la nuit. Vicky se réveille avec des piqûres partout. Elle pense d’abord à un moustique mais on découvre bientôt que ce sont des bed bugs... Elle est horrifiée et manque de faire une crise de panique. Il faut dire qu’elles ne l’ont pas râté, elle en a partout. Curieusement je ne me suis pas fait piquée. Je n’étais pas dans la même chambre mais en général quand il y en a elles sont partout. En revanche, j’ai dormi avec un legging serré et un haut à ma,che longue serré aussi alors peut-être qu’elles n’ont pas pu rentrer. Tant mieux pour moi. On part un peut en retard du coup. 

On file vers l’île au cactus. On roule à l’aveuglette sur le désert, enfin Anselmo sait où il va. En chemin on s’arrête pour voir les premiers rayons qui filtrent au travers des nuages. L’horizon est rouge et les relief au loin semble flotter sur la ligne d’horizon, comme en suspens. C’est irréel. On continue et on arrive à l’île au Cactus. Il faut monter tout en haut pour avoir une vue panoramique sur tout le salar. Le désert est partout autour de nous. Nous sommes quasiment seuls, les autres voitures ne sont pas encore là. Le désert s’étend à perte de vue. C’est comme si nous étions sur une île mais c’est du sel au lieu que ce soit de l’eau. Les couleurs sont magiques. C’est du blanc sans en être vraiment. Il y a toutes les nuances possibles. Avec le soleil qui se lève, les couleurs changent à chaque minute. Les cactus ajoutent au côté irréel du paysage. 

Nous redescendons au bout d’un long moment de contemplation. Nous prenons le petit déjeuner en bas, sur le salar, sur des tables en banc en sel. Démétria nous a préparé un gâteau pou rl’occasion. 

Une fois le ptit déj terminé, nous nous enfonçons dans le désert. Nous faisons une pause pour faire des photos. Nos amis anglais Vicky et JP sont hyper créatifs et me permettent de revoir mon jugement sur les photos « débiles ». Ils sont super doués et font de chouettes photos. Nous referons deux autres haltes avant de quitter le salar. Chaque fois c’est un émerveilement. Nous sommes tous sous le charme. Viky en oublie même un moment ses nombreux boutons. 

Nous déjeunons tous ensemble pour ce dernier repas. Nous partons ensuite rejoindre la ville d’Uyuni. Nous visitons le cimetière des trains. Des épaves de train et de vielles locomotives rouillées laissées à l’abandon. Uyuni n’est pas une ville franhcmenet intéressantes ni jolie, ça se voit tout de suite. Anselmo nous dépose tous au terminal de bus et c’est le moment de se dire au revoir. Chacun part vers sa destination. Ce voyage était une expérience incroyable tellement nous avons vu de choses. Un concentré de paysages et d’expériences. Vicky et JP furent une très belle rencontre. Anselmo notre guide était vraiment top et Démétria la cuisinère adorable.

J’achète mon billet pour San Pedro de Atacama. Demain départ à 5h30 du matin pour le Chili.

INFOS PRATIQUES

Voy tours :

super agence. Le prix est un peu plus élevé qu’avec d’autres comme Torre ou Alejandro. Les hébergements sont peut-être plus basiques. Mais l’équipe chauffeur et cuisinière sont au top. Niveau securite c’est parfait. Le chauffeur est aussi un guide. Il connaît très bien tout le circuit. Il travaille sur ce tour et avec cette agence depuis 12 ans et ça c’est un vrai signe de qualité. Il est à même de réparer la voiture seul. Il roule prudemment (je rappelle qu’il y a régulièrement des accidents graves et des morts sur ce circuit dus à l’imprudence des conducteurs). Les paysages sont les mêmes quelle que soit l’agence. En revanche les horaires pour les faire dependent du chauffeur. Nous avons vu par exemple la majorité des voitures arriver à l’ile aux cactus après le lever du jour. Dommage pour eux car c’est le plus beau. Anselmo ne nous a jamais pressé. On s’est arrêté un nombre de fois hallucinant et il ne nous a jamais rien dit. Bref pour moi le plus important dans le choix de l’agence est la sécurité et le fait de pouvoir être aux bons endroits aux bons moments et sans une masse de touristes. Mission largement accomplie par Voy Tours. Après ce sont mes critères, chacun peut en avoir d’autres. 

1 commentaire

Anne

anneben

Wouaouhhh !! C’est magnifique !

  • il y a 4 ans