La première visite de ce matin se passe au château de Schönbrunn. Évidemment encore une des résidences de Sissi, c’est encore une fois énorme avec un immense jardin à la française(dont on n’a même pas vu toute l’étendue. Dans le parc du château, on retrouve un pavillon « Gloriette », en haut d’une colline. Elle montre non seulement une vue de haut du jardin et du château mais également une vue panoramique sur une partie de Vienne. On s’est donc posé au café de la Gloriette pour goûter des boissons locales. Un panaché viennois (très léger, citronné et surtout très rafraîchissant) très bon pour monsieur et un café/chocolat viennois pour moi, il était aussi très goûtu!
Un peu rafraîchis, nous voilà repartis vers notre dernière destination. Dans une coupure totale avec le paysage urbain de la capitale, à quelques arrêts de tram, nous nous retrouvons dans la périphérie viticole. Nous nous arrêtons dans un Heuriger. Ce sont les tavernes à vin traditionnelles autrichiennes ou les vignerons servent leur propres vins accompagnés de plats rustiques. L’établissement est dans son jus, paiement 100 en espèce et une carte exclusivement en viennois bien sûr mais c’est une ambiance qu’on adore et c’est très mignon. Ce sont surtout des vins jeunes, on goûte un riesling aux notes de poires (d’après la traduction de Google), et on est surpris par le fait que mine de rien ça tape un peu 😅. On en a pris seulement 2 verres. On a aussi pris une planche de charcuterie autrichienne et en plat des choucroutes. Le chou est cuisiné comme en France, la garniture diffère. Ici on a pris avec des knödel, une sorte de quenelle de pomme de terre (ressemblant à un gnocchi cuit à l’eau au goût) garnie de gratons de porc croustillant en sauce. C’était pas mauvais mais on préfère la version française pour être honnête.