Transpeninsular

Publiée le 14/02/2022
Nous continuons notre vie de nomade à vélo en remontant la Transpeninsular …

Nous quittons la côte Est de la péninsule en direction de la côte Ouest. Il nous faut traverser les montagnes intérieures et donc passer quelques cols. Encore une fois nous admirons ce décor désertique en grimpant lentement, très lentement, avec les volcans de los Tres Virgenes en toile de fond. 

C’est toujours surprenant de voir qu’il y a quand même de la vie dans le désert ; aigles, vautours, oiseaux, lézards, rongeurs… et nous croisons même des coyotes.

Nous arrivons à San Ignacio et dormons en camping dans l’oasis, superbe emplacement juste au bord de l’eau. Je me lance pour une baignade mais l’eau est glacée, bien pour la récupération musculaire on va dire ! 

Après étude des cartes et des logements potentiels nous décidons de partir le lendemain pour 148km jusqu’à Guerrero Negro (la plus longue depuis le début). On avance bien avec une pente favorable au début mais le vent se lève le midi, contre nous, et rend les 30 derniers kilomètres vraiment chiants, je n’ai pas d’autres mots. D’autant plus que la route est toute droite et qu’il n’y a absolument rien autour. Après cette journée nous apprécions grandement le restaurant du soir. 

On se pose une journée à Guerrero Negro, ville construite autour de l’exploitation du sel de la lagune. Nous nous reposons et faisons aussi une balade en vélo jusqu’au vieux phare en traversant les salines, la lagune et les parcs à huîtres. Encore un paysage complètement différent, c’est vraiment ça que nous aimons dans ce voyage, le changement quasi quotidien. 

Et ça grimpe
Très fleuri à cette période de l’année
Volcans Los Virgenes
Camping dans l’oasis de San Ignacio
La mission de San Ignacio
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Et c’est parti pour 4h de ligne droite
Des kilomètres de rien
Les restaurants populaires
Bientôt embauché par Yann Arthus Bertrand…
Les salines de Guerrero Negro
.Les parcs à huitres
Bleu sur bleu
Le vieux phare à l’entrée de la lagune
Laguna de Liebre
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