Pour quitter Puerto Natales, nous prenons un bus jusqu’à El Calafate. En arrivant, nous arrivons à faire changer notre bus de 18h pour le bus de 15h qui part tout de suite.
J1 : retrouver les plaisirs gustatifs de l’Argentine
En arrivant, le temps pluvieux est encore de la partie. On n’arrive vraiment pas à voir La Patagonie Chilienne ou Argentine sous les rayons du soleil. On se pose dans une chocolaterie pour un petit goûter avec vue sur les montagnes (donc pour nous une vue sur une colline surplombée de nuages opaques).
Après quelques courses, on se rend compte qu’il est l’heure d’aller au resto que nous avions réservé sur les conseils de notre auberge : The Asadores. C’est un menu fixe avec 5 services avec des empenadas de guanaco, de délicieuses viandes, une salade et pour finir un gâteau au chocolat ou une coupe de champagne (Agathe était aux anges).
Le ventre bien tendu, nous repartons à notre auberge où le sommeil ne met pas longtemps à arriver.
J2 : Mirador nous voilà
En sortant de l’auberge pour aller au mirador, nous nous retournons et voyons en grande partie le Fitz Roy et ce Pic est vraiment impressionnant même depuis la ville.
On se rend aux miradors des condors et des aiguilles. On se retourne régulièrement pour espérer revoir le Fitz Roy mais ce dernier fait le timide derrière les petits nuages. Les miradors nous donnent de superbes panoramas sur différentes vallées et on profite en même temps des vols de quelques condors. On est content de ne pas avoir fait plus que cette petite randonnée car le “mal de terre” d’Agathe ne passe toujours pas et cela nous inquiète. On file dans le restaurant à côté de notre seconde auberge pour regagner quelques forces.
On reste donc à l’auberge le reste de la journée avant de rejoindre Megane, la suissesse avec qui nous avions fait le Salar d’Uyuni, pour un mélange vin et fromage. Elle a fait la rando jusqu’à la lagune sous le Fitz Roy et elle n’a rien vu avec les nuages. Par contre, elle a rencontré un puma à moins d’une quinzaine de mètres et elle nous assure que sur le coup, ce n’était pas un bon moment…
On retourne ensuite se coucher pour notre bus demain matin à 8h.
